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a propos de moi ( 11 septembre, 2007 ) protégé : une faiblesse les larmes cet article est protégé par un mot de passe. pour le lire, veuillez saisir votre mot de passe ci-dessous : mot de passe : publié dans croissance personnelle par theclearlight saisissez votre mot de passe pour accéder aux commentaires. -- ( 8 août, 2012 ) manuel du guerrier de la lumière, p 130 le guerrier de la lumière partage avec les autres sa connaissance du chemin. celui qui aide est toujours aidé, et il a besoin d’enseigner ce qu’il a apprit. aussi s’assoit-il près du feu pour raconter comment s’est passé sa journée de lutte. un ami murmure : « pourquoi parler aussi ouvertement de ta stratégie? ne vois-tu pas que, en agissant ainsi, tu cours le risque de devoir partager tes conquêtes avec les autres? » le guerrier se contente de sourire et ne répond pas. il sait que s’il parvient au terme de son voyage dans un paradis vide, son combat n’en aura pas valu la peine. publié dans quotes de la semaine par theclearlight commentaires fermés -- ( 2 mai, 2011 ) manifeste d’un citoyen c’est bien d’avoir ses idées, sauf que lorsqu’on les rend public sur un blog, il faut s’attendre à ce qu’on les remette en question et avoir la maturité d’accepter qu’on les conteste, tout en restant des gentlemans (ou des ladys). sinon à quoi bon les rendre publics? pour s’écouter parler? un blog n’est pas la place pour se lancer dans des attaques personnels et du reste, ces attaques finissent toujours dans la censure tôt ou tard. (et pourraient et seront retenu contre nous civilement) sans parlez du fait que ce groupe n’est pas un groupe de thérapie, c’est le groupe d’un partie politique. (pour votre gouverne, il y a cette fabuleuse invention que l’on appelle les courriels: info@coalitionavenir.org, pour ceux qui veulent faire parvenir à l’intention de seulement messieur sirois et legault ou d’une autre personne au sein du partie.) est-ce que ce qui s’est fait jusqu’ici, pour créer le partie qui se prétend être « le » partie de la situation est parfait? vaux mieux regretter d’avoir essayé quelque chosez auxquelles on croyait, que de regretter ne pas l’avoir fait. parfois, on fait ce qu’on peut avec ce que l’on a. tout est mieux que l’immobilisme ou le statue quo. pas que ce qui s’est fait il y a 10 ans n’était pas bon, mais parce que la société évolue, le monde évolue, nous évoluons et donc les besoins de notre société évolue aussi. si vous pensez que vous pourriez faire mieux, achetez votre carte du partie, entrez dans la joute politique et faite partie de la solution… au lieux de la regarder avec amertûme de l’extérieur, non? c’est en tout cas, ce que je vais faire après avoir lu le texte fondateur intégral plusieurs fois, si il m’interpelle. et c’est je crois, un des buts de faire un groupe sur facebook. d’autant plus que le fait que le parti en soit à un stade larvaire, il serait d’autant plus ouvert aux nouvelles idées (qu’on me corrige si je me trompe). alors écrivez clairement vos idées, construisez une bonne argumentation et présentez-là! c’est un devoir de citoyen, de faire partie de la solution pour enrichir notre société. on parle souvent de nos droits, mais très peu ont le courage de parler des devoirs je trouve et encore plus, de les assumer. et lorsqu’on refuse de les assumer, on doit accepter que quelqu’un d’autre prenne les décisions à notre place, il n’y a aucune alternative. ceci dit, je ne vois absolument pas ce qui devrait pousser messieurs legault et sirois à se justifier à qui que ce soit. Ça fait les manchette et ça a la cote de ce temps là toutes ces histoires de jeux d’influences, d’intégrité mis en doute, etc. mais, ça l’a depuis toujours existé dans toutes les sphères de la société et ça l’existera toujours. il ne faut pas être aveuglément puriste quand même. ce n’est que la pointe de l’iceberg ce qu’on entrevoit à la télé. tout le monde le sait. non que ça le justifie, mais quand les mêmes personnes qui crient aux sorcières aujourd’hui, regardaient ailleurs il y a 5 ans, vous trouvez ça sérieux? on regardait tous, collectivement, de l’autre côté, nous sommes tous à blâmer. nous sommes tous imputable de nos inactions. alors encore une fois… une situation vous rend malade? faites comme tout le monde et plaignez-vous lors de vos soirées de cartes si ça vous fait du bien ou faite partie de la solution, faite votre devoir de citoyen et essayer de changer le monde. je pense que les québecois, nous sommes un peuple intelligent, créatif et innovateur. ce n’est pas une certitude, c’est mon humble avis. sauf qu’on a tendance à s’endormir dans la ouate à la première occasion, lorsqu’on ne se sent pas assez challenger. sans parler des fois où on se laisse voler nos idées, à cause de la peur du succès de certains. alors, il faut que ça l’aille mal, pis qu’on se fâche pour que nos « cerveaux d’exceptions » se lèvent et marchent dans la rue, pour incarner le changement que toute la nation attend. et pour qu’ils puissent avoir un poids quelconque, d’autre citoyens doivent les appuyer en faisant leur devoir de citoyen. et oui, je crois qu’on est rendu là et ce… « grace » à ce que les autre parties ont fait. et je parle ici aussi de ce qui s’est passé à ottawa. alors, québecois, cessons de nous complaire dans notre rôle de victimes des méchants anglais. si au lieux de se plaindre et de penser aux moyens coercitifs pour forcer les gens d’ici à parler français, nous jetions aux ordures notre orgueil, pour plutôt embrasser notre fierté national et vendre à tous, à quel point notre différence et notre distinction sont nos forces, que nous voulons les partager… peut-être alors les immigrants feraient la queue pour apprendre le français en arrivant ici. personne ne veut suivre un perdant. agissons en gagnant, cessons d’avoir peur du succès ou de dénigrer celui des autres. nos partenaires commerciaux nous reconnaîtrons alors comme une force économique et les immigrants qui viennent ici, pour renforcir notre authenticité, voudront s’identifier à nous en prenant part, parce qu’ils y croiront et non pas parce qu’on leur y aura contraint. si l’ontario ou le canada ou les États-unis ou l’europe ou l’asie ou l’afrique ou le monde entier réussissent tant mieux! ils auront tôt ou tard besoin de notre expertise pour continuer dans leurs succès, il n’appartiendra alors qu’à nous d’innover pour trouver et faire notre place. trouvons-nous d’autre partenaire pour élargir nos horizons et nous diversifier aussi. et si nous avons du succès, pourquoi ne pas le partager? c’est nous qui finirons par avoir besoin de nos partenaires un jour, pour éviter la stagnation. pourquoi financer des industries d’une autre époque? si la demande baisse, c’est peut-être parce que le monde n’en on plus besoin, alors pourquoi faire perdurer des compagnies sous respirateurs artificiels? pour gagner des votes? le monde évolue et il faut évolué avec lui, si nous voulons devenir des gagnants. je ne vous cacherai pas que je ne suis pas de gauche, même si je respecte les opinions de tous. j’entends souvent revendiquer des droits de ci, des droits de ça et peu semble ouvert aux concessions. il faut être réaliste et vivre avec les réalités de son époque, si on ne veut pas terminer dans le dernier peloton. je suis pour les soins, l’école gratuite et toutes les gratuités et services que notre société à besoin pour avancer sainement, ne me méprenez pas. sauf que ça prend de l’argent pour financer ça. Ça prend une volonté politique, pour faire le ménage là où il a besoin d’être fait et c’est tout le monde, qui doit apprendre à mettre son orgueil de côté, si on veut avancer comme société. il faut que les citoyens cesses de revendiquer leurs droits et qu’ils commencent à assumer plus leurs devoirs de citoyen. pourquoi? pour que notre société lâche prise sur le passé et regarde vers l’avant. oui cela veut dire que certain vont perdre de l’influence, mais ils pourraient voir cela comme un partage des responsabilités aussi, ce qui leurs permettra de se concentrer sur leurs propres forces, je pense ici aux sages femme versus les médecins, parce que je connais quelqu’un qui prend part à ce débat. c’est sûr que l’efficacité de la gestion et celle de la gestion de la main d’œuvre pourrait être optimisé. c’est certain que les bonus à outrance que certains employés de société d’état reçoivent me puent au nez. c’est facile de crier ce qui va de travers. mais, avoir le courage de faire partie de la solution ah! ça… combien de personnes mettrons leurs culottes et essayerons de faire partie du changement? combien de personnes iront voter aux prochaines élections seulement? est-ce que je crois que ce parti est la réponse? il est en construction. si le départ me plaît, il n’appartiendra qu’à moi de prendre position pour y apporter ma contribution. À vous d’en faire autant, avec ce parti ou un autre, afin que tous nous embrassons le changement, l’avenir et le future qui s’offre à nous. publié dans divers par theclearlight poster un commentaire -- ( 20 février, 2011 ) l’intégrité vs la compartimentarité l’intégrité vs la compartimentarité intégrité: 1. État d’un tout, d’une chose qui est dans son entier. * il a remis le dépôt dans toute son intégrité. * conserver l’intégrité du territoire. * ce monument est encore dans son intégrité, dans toute son intégrité. * (figuré) défendre l’intégrité de ses droits. — garder l’intégrité de sa foi. 2. (figuré) vertu, qualité d’une personne intègre. * parfaite intégrité. * l’intégrité d’un juge. * tenter, corrompre l’intégrité de quelqu’un. * l’intégrité des mœurs, de la conscience. 3. État d’une chose saine et sans altération. * l’intégrité de ces fruits, si bien conservés.. * les parties intérieures du corps étaient dans toute leur intégrité. * il a gardé des fleurs, des fruits d’une année à l’autre dans leur intégrité. compartimentarité : le mot n’existe pas… je l’ai inventé. mais, par étymologie, ça voudrait dire quelque chose comme un état dans lequel on a compartimenté. compartimenter : cloisonner, diviser en plusieurs espaces clos. (donc, non entier) j’aime bien commencer à l’occasion avec des définitions, pour rendre ma pensée plus concrète. ce qui me pousse à écrire ma pensée cette fois… c’est les profils que j’ai lus sur les sites de rencontre. (d’homme comme de femme… bien quoi? c’est de la saine compétition que de lire ce que les autres font) on appel, par exemple, « a sunday’s christian » ou chrétien du dimanche, une personne qui va arnaqué pour vivre toute la semaine ou agir de façon non intègre la plupart du temps, tout en se prétendant bon chrétien, puisqu’il va à l’église le dimanche (plus ou moins). non, je ne suis pas religieux, ceci est un exemple simpliste de compartimentation (un mot qui existe). un autre que je trouve plus insidieux (à mon humble avis) : prétendre et croire, que l’on est simple et qu’on veut une vie simple. que nous ne sommes pas matérialiste ou de luxe et bla bla bla… sauf… vouloir être quelqu’un de sportif, qui prends le temps de bien manger, qui se passionne pour son travail, qui se passionne pour les voyages, pour la musique, pour la lecture et qui dit que son indépendance n’est pas négociable. puis, terminer se disant être rendue au point dans sa carrière où on veut une famille et que la vie de famille est importante pour nous (je parle ici de personnes et non de femmes) attendez là… vous voulez le beurre, l’argent du beurre et la paye du laitier (non me répondrons certaine, le laitier en plus)? je ne suis pas le plus cartésien au monde… mais j’admets être à l’aise avec les chiffres. alors, quand j’ai été confronté à la réalité de peut-être être père… il y a 9 ans… j’ai fais un calcul. un calcul que je n’ai jamais dévoilé à quiconque, car j’en ai eu honte pendant près de 4 ans. on va prendre une petite famille « bien partie », avec un enfant de 5 ans et un autre de 7 ans. soit avec des enfants « relativement » indépendant et je signale que ça l’aura pris 7 ans en arriver là, plus la grossesse du premier (qui implique moins de sacrifice, mais il ne sont pas négligeable) : dans une semaine, il y a 7 fois 24h, donc 168 heures . la plupart des gens ont « besoin » de dormir 8-10 h par jour, par optimisme on va dire 8. soit 56h par semaine. (et il est hors de question qu’on coupe leurs heures de sommeil) pour se nourrir 3 fois par jours, on a besoin de quoi, 15-30 minutes le matin (on va dire 30 car y’a les enfant), 30 minutes le midi et 30 minute le soir. et les repas ne sont pas préparés. par optimisme toujours, on va dire 1h00 par jour, incluant la vaisselle (ce qui est improbable), divisé par 2 (cuisine+vaisselle divisé par 2), car les tâches sont en théorie égale. donc, 14h par semaine. on veut tous être de bon parent, donc on va aidé un petit 15 minutes en moyenne nos enfants pour leur devoir par jour, ce qui prendra en moyenne quoi, 15 minute, fois 2 (2 enfants), divisé par 2 (on est 2)? je dirais au moins mais bon, soyons optimiste. ce qui fait 1h45 par semaine. nous travaillons 8h par jour et je crois qu’en moyenne on puisse dire qu’on a au minimum 1h aller-retour de voyagement. pour 63h par semaine. on doit faire les courses… disons que nous les faisons en famille pour passer du temps de qualité en famille… donc on prends quoi… au moins 1h30 par semaine? le temps de préparer les p’tits et en étant toujours optimiste. s’occuper des enfants pour tous leurs besoins, toilettes attention, maladies, affection, calins et autre j’y inclus tout. vous pensez y mettre combien de temps? eille! vous êtes de bon parent non? donc disons une heure en semaine et 4 par jour le week-end? (ce qui est peu à mes yeux, mais je veux être optimiste) pour un total de 13h par semaine, pour vos 2 enfants? je ne connais pas bien gros de parents qui s’en tire a si bon compte… sauf que les parent ne sont pas toujours ensemble… alors pour être optimiste toujours… nous allons dire qu’on investis 9h00 par semaine de notre temps pour nos 2 enfants. bon un souvent s’en occupe plus que l’autre… mais pour les besoins de l’exercice nous vivons dans un monde parfait n’est-ce pas? alors, nous dirons 9h00 par semaine. (les parents qui me liront vont sûrement la trouver très optimiste celle là) on a tous des périodes d’indisponibilité. pour faire notre toilette, pensées, planifier, lire, etc. disons qu’on se contente d’une heure par jour pour tout inclure. donc 7h par semaine. nous sommes rendu à 152h15 minutes par semaine, sur un total de 168h00. donc il vous reste 15h45 pour couvrir toutes les imprévues, les maladies, passé du temps en amoureux, faire vos 12000 activités que vous ne pouvez mettre de côté, votre bénévolat du dimanche, etc. sur de nombreux point… j’ai été plus optimiste que la réalité. et je ne vous parle même pas des 4 premières années de parents, durant lesquelles vous aller avoir eu un enfant de moins de 2 ans en tout temps… ce qui veut dire moins de sommeil et exponentiellement plus de temps pour les enfants. pour faire plus de temps… j’ai entendu (sans juger) tous les stratagèmes possibles : réveiller les enfants 15 minutes plus tôt pour aller chercher son café chez tim. couper son sommeil du quart pour avoir le temps d’aller faire du yoga (ou du hockey). encaisser du capital affectif de son (sa) conjoint(e) en le laissant de côté juste une journée ici et là… après tout il nous aime, il/elle va comprendre ou pire encore, qu’il n’a pas son mots à dire, car c’est notre droit. et on se demande pourquoi les couples se « rendent comptes » qu’après tant d’années il se sont perdu de vue. wow… toute une surprise? rappeler vous, qu’il faut être deux pour danser. bon… des exceptions quoiqu’on fasse ça arrive, ça épice le quotidien et je ne dis pas que ce n’est qu’un calvaire d’être parent ou qu’il est impossible de vivre certaines de nos passions en tant qu’individu, tout en restant de bons parents et de bons amants. toutefois le mot clef est « certaine ». il faut faire des choix et des compromis. la maudite expression de grand-mère qui dit qu’on ne peut pas avoir le beurre et l’argent du beurre est d’une sagesse infini. et à ce que je comprenne, elle prend une vie à mettre en pratique. j’aimerais vous souligner un détail que j’ai complètement retiré de l’équation… la télé. en 2008, selon le crtc, les canadiens ont passé 26,8h devant la télé et boom! on doit inventer la machine à rallonger les journées. elle n’est prévue qu’en 2020… désolé. (non c’est une blague ) il y a 9 ans, j’ai fais ce calcul et je me suis dit : « hey fuck, il faut être dingue vivre dans ça juste pour avoir des kids ? comment je pourrais faire pour joindre les 2 bouts non seulement financièrement, mais surtout en temps ? (et je l’ai regretté ensuite, mais je vous épargne l’histoire) il y a 4 ans, je regardais tout ça, souriant et je me disais wow… c’est juste ça le prix à payer? maintenant, ce n’est plus un prix à payer, c’est un privilège de vivre ça à mes yeux. un privilège qui se mérite, jour après jour et non un droit que l’on acquiert, parce que nous sommes biologiquement (ou non) les parents de ces enfants ou que l’autre nous a promit que ça serait pour toujours… je vais vous épargner ma route entre les 2… on parle ici de 9 ans quand même. le pire… c’est que je sais pertinemment que certaine personne me liront et se diront pff… j’ai raisons finalement de penser ceci ou cela (se servant de mon texte pour se valider), au lieu de se regarder le nombril, en se demandant se qu’eux pourraient (auraient pu) faire de mieux. ce est qui de la compartimentation, car on fait abstraction de ses propres faiblesses de l’équation pour remettre dans les bras de l’autre (et/ou à la vie en générale) notre propre inhabilité à faire cadrer notre vision d’un monde parfait dans ce monde imparfait (ce qui le rend vrai). et c’est… quelque chose qui requiert de l’aide d’un thérapeute pour passer par dessus très souvent. toutefois, ce sont ceux ouverts aux changements que j’espère atteindre, car j’ai assez perdu de temps avec les autres. mes conclusions? affranchissez-vous de vous-même. sortez dehors. allez parler à des amis ou à votre conjoins. quoique vous fassiez, vivez au lieux de survivre devant votre télé ou en vous saoulant de vos 12000 activités, afin de pouvoir survivre une autre année, en attendant votre instant de bonheur: cette semaine dans le sud, cette nouvelle télé que vous aurez acheter ou qu’importe ce qui aura réussi à vous faire succomber à ce matérialisme, que l’on prétend rendra votre vie plus remplis et qui vous aura pris le reste de l’année afin de vous le payer. le monde a ses beautés et ses laideurs et nul besoin d’aller à l’autre bout de la planète pour vivre des instants de bonheur. le bonheur, ce n’est pas la destination, ce n’est pas ce que vous faites en soit. le bonheur, se trouve dans ces geste quotidiens, ici et maintenant, le bonheur c’est le fait de les faire. le bonheur, c’est la voie pour arriver à tout ça. le bonheurs c’est aussi les sourires qu’on échange avec son être chère; les soupirs de notre enfant qui nous réveille la nuit; relever des défis ou changer le monde au travail; avoir hâte de rentrer du boulot le soir pour serrer contre soit notre être cher; aller prendre une marche pour partager sa journée avec ses proches et qu’ils nous partage la leur et se coucher le soir… juste heureux d’avoir respirer une journée de plus. À travers tous ces instants qui trop souvent passent inaperçu aux yeux des gens stressés et bornés; à travers ces joies et ses malheurs que nous partagerons avec nos proches quine font qu’approfondir nos liens avec ceux-ci. le vrai bonheur, c’est le plaisir de vivre, là, aujourd’hui, maintenant et s’ouvrir les yeux à tous ces instants parfois magiques, parfois moins, que la vies nous offres et que l’on veut occulter pour nous vendre ces bonheurs bon marché, qui n’ont pourtant aucune importance, lorsqu’on prend 2 minutes pour y penser. publié dans croissance personnelle , non classé par theclearlight poster un commentaire -- ( 26 janvier, 2011 ) mes quelques pensées du jours… voici mes nombreuses pensées du jours. celles empruntées ou inspirées auront une mentions jointes: que la paix exorcise la tristesse, l’amertûme et la colère de votre coeur, pour ainsi faire place à cette joie subtile, tranquille et pourtant, si implement parfaite. nul besoin de passion déchainée, lorsqu’on a rien àoublier… mieux vaux l’éphémérité et l’imperfection d’un instant vrai, au mensonge de l’immuabilité semblant parfait… la vie se construit un moment a la fois… un peu comme des briques qu’on assemble une à une pour former une maison toute entière sans qu’on s’en rende compte… mais notre vie a finalement été belle et épanouie… meme si certaine de ces briques ont pourtant semblé si lourde sur l’instant… problems do not go away. they must be worked through or else they remain, forever a barrier to the growth and development of the spirit. -m. scott peck confiance en soit n’égal pas misanthropie… je pense qu’il devrait toujours y avoir un respect dans nos propos et une certaine courtoisie. si tous, on chiait sur la tête des autres quand ils ne font pas notre affaire, ça serait beau. par c…hance, il n’y a qu’une pognée qui en font un mode de vie… mais ils n’en sont pas moins épuisants!et si quelques choses ne nous plait pas… au lieux de tomber dans la médisance à outrance, pour faire passer nos messages, pourquoi ne pas tout simplement le dire directement? À moins que ce soit une façon de se faire reluire en abaissant les autres, quelqu’en soit la cause? sinon, si l’autre n’à pas la maturité de nous écouter, mérite-t-il vraiment notre attention? il y a tellement de perte de temps dans tout ces jeux pervers… et si on prenait ce temps pour être heureux à la place? aussi, beaucoup semble croire que leurs interprétations de nos propos prime sur nos propos en soit, ils place alors de faux propos/intentions dans notre bouche et on top… c’est nous qui devrions s’excuser? le narcissisme, ça se contrôle… faudrait cesser de croire que la terre évolue autour de nous. on a bien de la misère avec l’imputabilité de nos propos je trouve… que ce soit à cause de la chaleur, à cause d’une journée grise, d’une journée difficile au travail, l’amertume de notre coeur, etc… À mon humble avis, rien ne peut justifier notre manque de discernement et de respect. quand t’agit en trou de cul, t’agit en trou de cul… quelqu’en soit la raison et la seule choses à faire, c’est de s’excuser en toutes humilité. Ça, c’est respecter son prochain!même si lors de certaine journée, il est parfoit plus difficile qu’à d’autre de rester courtois… il ne faut pas devenir ce qu’on méprise non plus! on vit et jouis tous de la société. on revendique oh! combien fort nos droits… mais peut semble se rappeler de nos nombreux devoir de citoyen… et quand tu n’es pas du monde, enferme toi dans une grotte, si tu ne peux te contrôler (et vivre en socitété) et cesse de faire chier ceux qui t’entoure pour te sentir moins seul dans ta merde! aye! de tel propos peuvent sembler fort pessimiste… mais la vie est belle! faut juste savoir s’ouvrir les yeux pour voir ce qui se passe vraiment autour de nous… il y a un ami qui nous veux du bien, on a un enfant qui rit à s’en rompre la rate parce qu’il est heureux d’être avec nous, on a un (e) conjointe qui se fait du soucis pour nous parce qu’on a plus de journée grise qu’ensoleiller (et qu’on met de côté parce qu’on fait tellement pitié dans nos problèmes!)… alors ouvrez-vous les yeux et soyez heureux! on apprends a vivre en meme temps qu’on vie… c’est ca la vie! isn’t it all those life’s paradoxes that makes it worth living it? la vie n’est pas un combat, la vie est un trésor que l’on a découvert, que l’on découvre, que l’on découvrira et dont nous seront ensuite les gardiens… (inspiré par katryne doré) en ce voyage au pays de nul part, forgeons collectivement, de lumière et d’ombre, un futur irréellement serein! la vie est belle… souriez! c’est gratuit vous savez? bien qu’oser poser des questions audacieuses soit louable, il faut avoir la maturité d’en accepter les réponses quelles qu’elles soient. une étincelle dans le ciel de nos idées peut parfois suffir, pour engendrer l’espoir qui donnera le jour à cette vie meilleure, empreinte de ce bonheur, si simplement parfait. l’amour ce n’est que l’amour… si t’essait rien, rien ne pourra t’arriver. vaux mieux avoir l’air un peu épais tout de suite, que très épais plutard… l’avenir, comme le présent, se dévore, une seconde à la fois… simple things, simple chats, simple attentions… all makes it more matter. simple needs, simple life, simple ways, all seems great, when filled with it. how such simple things, can all become so great when filled with such a complex notion… is it so complex or are we making it so? and why? shouldn’t love be what we …do… on a daily basis? shouldn’t such a natural, visceral and intuitive emotion be simplier? si le rire sincère de ton enfant te tappe sur les nef en revenant du boulot, allume pis change de job. « confiance en soi et estime de soi, quoi de plus important avant d’aimer sainement quelqu’un… « pour trouver son prince charmant, il faut savoir être une princesse charmante… … et vice versa bien-sûr… comme l’adage juif le dis si bien: quand on donne, on doit l’oublier, quand on reçoit, il ne faut jamais l’oublier. il vaux mieux regretter un instant d’avoir trop donné, que de se demander le reste de notre vie pourquoi on a pas donner assez! d’ailleur, c’est souvent un de ces petits gestes d’allure banals pour nous, qui peut faire toute la différence pour quelqu’un… il faut avoir un coeur d’enfant et non agir comme un enfant… là est toute la différence. le but de grandir pour devenir une entitée complexe et complète n’est pas pour en devenir une plus compliqué, mais beaucoup moins, de par l’acceptation de tout nos paradoxes. (on appelle ça s’assumer, comme dirait une katryne qu’on connait bien) que la paix exorcise la tristesse, l’amertûme et la colère de votre coeur, pour ainsi faire place à cette joie subtile, tranquille et pourtant, si simplement parfaite. nul besoin de passion déchainée, lorsqu’on a rien à oublier… publié dans non classé par theclearlight poster un commentaire -- ( 23 janvier, 2011 ) ma vision d’une thérapie holistique version en dévelloppement publié dans non classé par theclearlight poster un commentaire -- ( 23 janvier, 2011 ) l’hiver, parfois une triste saison pour l’amour. introduction l’hiver, incarne la mort de toute chose, avant leur renaissance au printemps. je disais l’an dernier, que l’être humain peut être si mystérieux et si prévisible en même temps. toute une dualité n’est-ce pas? j’avais ces propos suites à une discussion sur les fins de relation, souvent nébuleuse que l’on observe de façon sporadique dans cette saison de l’hiver. suite a une recrudescence de ce genre de discussion dans les dernières semaines, j’ai décidé de mettre sur papier le fruit imparfait de mes réflexions de la semaine (ou de l’année). je vais d’abord aborder l’hiver, comme saison incarnant la mort, dans le cycle de la vie, comme étant une des étapes de l’acceptation du changement, menant au lâcher prise. puis, je vais tenter de faire la lumière sur les distinctions entre un homme et une femme. pour après enchaîner sur la confiance, d’abord en soi, puis en l’autre. pour enfin faire la lumière sur la première chose à comprendre avant de pouvoir avancer, soi-même. et pour finir, je vais offrir des pistes sur comment arriver à comprendre l’autre. on entend plein de théorie à la radio et à la télé, plein de rationalisation, mais je ne crois pas que ce soit important de vraiment mettre en mots quelques choses d’aussi viscéral. en « encapsulant » l’immuable dans une théorie quelconque, je crois qu’on le réduit. même si il faut essayer de continuer de l’expliquer pour grandir spirituellement, penser qu’on a réussi est une des plus grandes erreurs qui soit, à mon humble avis. alors je tiens à vous préciser d’emblée que j’ai longtemps réfléchit avant d’ouvrir une aussi grosse boîte de pandore, que tout cela n’est que le résultat de mes réflexions et non la réalité. hivers, saison de la mort l’hiver, la saison où ce qui doit mourir meurt, afin de pouvoir renaître au printemps. la loi de la forêt ou de la jungle quoi, au figuré et parfois au propre. cette phrase dit tout et rien à la fois, mais ce qui est important, c’est que meurt ce qui doit mourir. les maillons faibles prennent fins, le reste survit (et doit survivre) à l’hiver. au printemps, les oiseaux chantent à nouveau pour que l’amour renaisse, année après année. dans cet éternel cycle des naissances/renaissances. l’étape de la dépression ou la mort ou l’hiver, est une étape cruciale au mieux-être, aussi pénible soit-elle. c’est une étape difficile qui demande de l’introspection, qui est difficile, n’est jamais agréable, mais ultimement, c’est une étape incontournable pour accepter et apprécier ce que l’on a ou pour lâcher prise, aux choses qui nous ralentit dans notre chemin vers l’accomplissement, vers le bonheur. c’est après tout l’avant-dernière étape avant l’acceptation du changement ou de la mort (qui peut être prise au figuré) qui sont : le refus, la colère, la négociation, la dépression, puis l’acceptation. ensuite, le travail n’est qu’à moitié fait, car accepter le changement et vivre ce changement sont 2 choses différentes (à mon humble avis). thème que je n’approfondirai pas ici, mais qui peut être clarifié à l’aide du cycle de prochaska (qui est un processus cyclique) : 1) la pré-intention : la personne n’envisage pas de changer son comportement dans les six prochains mois. les raisons en sont variées : manque d’information, manque de confiance en soi, échecs antérieurs, peur des conséquences, choix d’autres priorités, etc. 2) l’intention : la personne envisage de modifier ses habitudes dans un avenir relativement proche. elle pèse le pour et le contre. 3) la préparation : la décision est prise et la personne se prépare au changement. elle demande conseil, recherche des informations… 4) l’action : période au cours de laquelle la personne modifie ses habitudes. cela lui demande un dépense supérieure d’énergie et d’attention au quotidien 5) le maintien : le changement est désormais effectif. il s’agit alors d’éviter les rechutes. l’effort à fournir est moins intense, la personne a davantage confiance en ses capacités. même si la rechute est possible, elle fait partie du processus et ne doit pas être considérée comme un échec, bien au contraire, mais comme une dernière étape vers la voie du changement. 6) la résolution : la tentation du comportement antérieur a disparu, y compris dans des situations potentiellement dangereuses de stress, d’anxiété, de colère ou de dépression (encore le modèle de kübler-ross). la personne est satisfaite pleinement du changement et ne rechutera plus. le yin et le yang, 2 côtés indissociable du dao. lorsqu’on parle de médecine globale ou holistique, on doit prendre l’humain dans un tout (corps, pensée et esprit), pour tenter de comprendre ou aider l’autre et surtout, de se comprendre et s’aider soi-même. là est tout le problème. nous les hommes, étant plus yang, avons une facilité à relativisé, à avoir une vue d’ensemble, mais on est déconnecté de l’être parfois, on n’existe que dans notre tête. nous avons, comme nous l’avons tous entendu souvent, une vision de chasseur. alors que les femmes, plus yin par nature, sont beaucoup plus intuitive, empathique et donc, dans l’instant présent, sauf qu’elles ont plus de difficulté à voir au-delà de l’instant présent, à avoir une vue d’ensemble et donc, à voir au-delà de leurs problèmes du moment. elles ont une vision de gardien, pour être à l’affût des dangers présents. j’ai bien dit plus yang ou plus yin, car la beauté de l’être humain fait en sorte qu’il y a tellement de teinte différente d’un individu à un autre. nous sommes tellement différents et pourtant, à mesure que nous évoluons comme individu, je crois que c’est vers notre alter ego que nous tendons, pour ainsi cesser d’être la dualité yang/yang, pour devenir yang-yin pour les hommes, et le contraire chez les femmes. la confiance tout ça fait, que nous avons qu’à gagner, de prendre le choix moral de faire confiance, pour vraiment sincèrement et viscéralement offrir notre confiance, puis notre âme à l’autre. toutefois, un coup ce choix fait, nous devons l’assumer. comme dans toute chose, il faut toutefois avoir du discernement, je ne parle pas ici d’offrir aveuglément quoique ce soit. mais, quand on croit sincèrement en l’autre et qu’on fait le choix de partager sa vie, je pense que cette personne est en droit de s’attendre qu’avec le temps, nous lui offrions notre confiance sans avoir à la mériter constamment. sauf que si on fait le choix morale de faire confiance, je pense que ça l’implique de s’exposer au risque de souffrir à nouveau… après tout, comme dit l’adage, on ne fait pas d’omelette sans casser d’œuf. alors les filles, cessez donc le mystère et faite donc ce que vous faites entre fille, partager donc ce que vous ressentez vraiment au lieu de jouer les dure. probable que ça fera fuir un pauvre mec… « good ridance i say »… mais ça donnera confiance émotionnellement aux « good guys », qui se sente un peu perdu, quand une fille cache ce qu’elle pense/ressens vraiment, par peur de faire fuir son mec ou de souffrir à nouveau, en lui disant un « white lie ». le moi et la discipline bien que tout ça semble atrocement compliqué, je pense qu’il faut se discipliner à continuer d’aller vers l’avant, même si on ne comprend pas toujours pourquoi sur le coup, car on ne vit que pour survivre plus longtemps, au lieu d’embrasser la vie à travers ses couleurs et ses zones grises, lorsqu’on refuse de lâcher prise. il faut cesser de se dire que ce n’est pas notre tasse de thé de communiquer son moi et se forcer à le faire. je ne dis pas ici de devenir un livre ouvert dans toutes les sphères de nos interactions sociales (travail, amis, etc.). dans les autres sphères, il y a le pouvoir politique en jeu, c’est donc normal de se garder « une petite gêne ». mais, avec la personne avec qui nous construisons notre vie, avec qui nous avons partagé notre adn pour concevoir la vie… ne pourrions-nous pas mettre nos petites craintes de côté et croire en l’autre, sans systématiquement toujours comprendre les leitmotivs de l’autre? c’est une chose de le dire, mais le démontrer jour après jour, Ça, c’est le challenge d’une vie. de par nos natures différentes, on ne peut toujours comprendre le pourquoi du comment, alors apprendre les concessions, ça veut parfois dire aussi de faire ce que l’autre nous demandes sans comprendre ou demander d’explication, juste parce que l’autre nous l’a demander, en ayant confiance en son jugement et en étant assuré qu’il a nos intérêts à cœur autant que les siens. souvent, comme le disent les taoïstes, c’est le chemin qui importance et non la destination, alors ce n’est pas le sujet de la discussion ou l’activité qui importe, c’est le fait d’avoir parlé ou d’avoir été ensemble qui l’est. une chose tellement difficile à comprendre pour un gars (dont moi-même qui a commencé à le comprendre il y a 2 ou 3 ans et même là, l’appliquer est une autre étape que j’ai à peine effleuré.). beaucoup plus difficile, je crois, que tous les challenges que nous rencontrerons au travail ou dans les autres sphères de notre existence. d’ailleurs, ceux qui croient et continu de croire que la vie « devrait » être facile, se maudissent eux-mêmes aux malheurs et continuerons de « subir » la vie. tout ceci m’amène à mon dernier point : le moi. logiquement, j’aurais sans doute dû mettre ce point en premier, mais comme l’être humain n’a rien de logique, c’est souvent la dernière chose que nous abordons, avant de s’assumer et de lâcher prise. il est facile de s’asseoir dans le bateau et critiquer l’autre qui rame seul parce qu’on n’aime pas la direction qu’il a prise. toutefois, il faut être 2 pour danser. alors avant de se demander ce que l’autre pourrait faire pour nous, nous devrions d’abord nous demander ce que nous, nous pouvons faire pour nous même, pour ensuite nous demander ce que nous pouvons faire pour l’autre. À la lumière de ceci, il est toujours sain d’exprimer clairement ses frustrations, mais il l’est encore plus de demander à l’autre de nous exprimer les siennes et bien sûr, d’apprendre à avoir la maturité de les écouter, quitte à serrer les dents bien fort le temps que ça passe. on fait souvent l’erreur d’essayer de comprendre l’autre ou d’analyser les autres, afin d’éviter d’avoir à se comprendre soi-même. souvent des gens ont l’impression qu’en apprenant à comprendre les autres, ils pourront arriver à se comprendre soi-même et ils ont raison jusqu’à un certain degré. sauf qu’en évitant de se regarder le nombril d’abord, ils n’arriveront jamais à s’exorciser de leur propres démons, si ils se rendent comptent qu’ils existent. je pense personnellement qu’il faut essayer de grandir sur tous les plans, petits à petit. ce n’est pas en s’isolant dans une grotte pendant 4 ans que nous arriverons à mieux nous comprendre non plus, car c’est d’avantage de nos erreurs à travers toutes nos aventures que nous apprenons. alors, si on veut cesser de parasiter la lumière des autres, il faut que ça parte de soi… afin que puisse d’abord s’éclaircir notre ciel de ses nuages, pour ensuite briller sur les autres et vraiment embrasser la lumière qu’ils nous transmettent. comprendre l’autre l’important je crois, c’est de continuer d’apprendre de ses bons et de ses moins bons coups, si on veut vraiment comprendre l’autre. sauf que pour apprendre à discerner ses bons coups de ses moins bons, il faut apprendre à échanger aussi. quelque chose que les filles font et que les gars devrait faire beaucoup plus au lieux de parler de char ou de jeux vidéo je crois, c’est d’échanger, avec empathie entre gars, ses bons et ses moins bons coup. il faut que les gars comprennent, qu’un simple merci timide et ému… expose la souvent la fragilité de la fille, face à cette attention nouvelle et qu’au début, ce n’est jamais facile pour elle de se laisser aller. car, on s’est tous fait roulé dans le passé, par de beaux gestes ou de belles paroles et les filles sont beaucoup plus près de leurs sentiments que nous… donc même si elles pardonnent (parfois), elle n’oublie pas facilement. donc, si la fille te dit « juste » merci timidement, wow you’re in luck, don’t push it you stupid jerk… and stop reminding her about what you did… she’ll remember, trust me. les filles ça remarque et se rappel des détails. Ça va pouvoir te rappeler tes vêtements à ton premier rdv très souvent, la couleur de ta ceinture, si tes bas allaient avec ton suit, etc. chose un peu abstraite pour la plupart des gars (quoique pas tous, il y a des gay aussi, je blague.) qui ont on peine à remarquer leurs nouvelles coupe de cheveux ou la couleur de leurs robe (mais vont souvent remarquer leur décolleté, allez savoir pourquoi). ce n’est pas un jeu dans lequel celui qui score le plus de point gagne (je pense ici aux air-lousses ou pipo-points). même si le concept est drôle en soit, je le crois insidieux. c’est un combat au quotidien pour qu’une journée de plus, la flamme continu de briller. c’est ça la victoire, que ta compagne ou ton compagnon se lève souriant (e) le matin, que durant la journée lorsqu’il (elle) pense à toi il (elle) s’ennuie au lieu d’être soulagée. j’entends tellement de pauvres mecs dire : « oui mais… j’ai fait ça pour toi ». aye « dude », tu transformes un bon coup en raison de se méfier de tes bons coups futur, not a good thing at all. il faut cesser de croire que le sentiment d’être amoureux ou de se sentir aimé a de quoi de logique et qu’on peut « convaincre » quelqu’un qu’il (elle) nous aime encore. ces sentiments sont magique un point c’est tout. sauf qu’on peut faire (et doit) faire sa chance pour que la magie reste de notre côté. devinez comment j’ai pu m’en rendre compte? ouais, j’ai été un pauvre mec aussi, trop longtemps même. mais, j’ai finis par comprendre pour le partager, n’est-ce pas merveilleux? si moi je l’ai pu, vous pouvez le comprendre aussi… publié dans croissance personnelle par theclearlight commentaires (2) -- ( 6 juin, 2010 ) protégé : la première soirée cet article est protégé par un mot de passe. pour le lire, veuillez saisir votre mot de passe ci-dessous : mot de passe : publié dans non classé par theclearlight saisissez votre mot de passe pour accéder aux commentaires. -- ( 3 juin, 2010 ) protégé : l’éveil spirituel cet article est protégé par un mot de passe. pour le lire, veuillez saisir votre mot de passe ci-dessous : mot de passe : publié dans croissance personnelle par theclearlight saisissez votre mot de passe pour accéder aux commentaires. -- ( 1 juin, 2010 ) protégé : spring’s awakening, or my journey from winter to spring. cet article est protégé par un mot de passe. pour le lire, veuillez saisir votre mot de passe ci-dessous : mot de passe : publié dans non classé par theclearlight saisissez votre mot de passe pour accéder aux commentaires. -- ( 25 mai, 2010 ) spring’s awakening spring’s awakening may 25th, 2010 i feel joy, i feel pain, is it spring? there is warmth, there is void, is it begining? when there’s no gain, without pain, what’s to obtain? let it start, let it end, fire unleashed again. unfolded before me, surprisingly, the man i’ve dreamed of always be does it really all comes from me is it really, such a mystery. in the blink of an eye, another reality, i let my heart goes on, to those realms of mine. by the sheer forces of my will, i the poet had take back that so, hated sword, i just had to end it. … i just had to end it. why in the first place, was it so hated that part of me, which i tried to deny myself. was i parodying myself, my soul, rationalizationally. have i lied for so long, to me. let it spring, let it ring, let it cling the essence of life, what a craving. am i so weak, for unbelieving, or am i stronger, for awakening. let yourself die, peacefully just let go of your chains, don’t feel sorry rejoice in the light, the newfound harmony then your heart shall reborn, to it glory. now open your eyes, now you can see. the world as it has, ever be open your arms, your soul to me. you now know i love you, like it has to be. in the blink of an eye, another reality, i let my heart goes on, to those realms of mine. by the sheer forces of my will, i the poet had take back that so, hated sword, i just had to end it. … i just had to end it. publié dans poesie eparse par theclearlight poster un commentaire -- 1 2 3 4 page suivante » | catégories divers (6) livre (15) croissance personnelle (12) spiritualite (4) non classé (8) poesie eparse (3) quotes de la semaine (1) liens créer un blog unblog.fr articles récents manuel du guerrier de la lumière, p 130 manifeste d’un citoyen l’intégrité vs la compartimentarité mes quelques pensées du jours… ma vision d’une thérapie holistique l’hiver, parfois une triste saison pour l’amour. recherche meta inscription connexion rss rss des commentaires mots@mots / ateliers d'é... | flostarlette2 | littérature de jeunesse thé... | unblog.fr | créer un blog | annuaire | signaler un abus | partages et reflexions | les chroniques de wenceslas... | quelques textes des étudian...